Aidez-nous à financer les recours contre la retenue collinaire de Beauregard !

par La Nouvelle Montagne

Aidez-nous à financer les recours juridiques contre la retenue collinaire de Beauregard

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Des premières victoires synonymes de sursis

Suite au recours en référé que nous avons lancé avec les autres associations requérantes, le juge du tribunal administratif de Grenoble a rendu son verdict le 25 octobre 2022 et ordonné la suspension de l'autorisation de la retenue d'altitude sur le plateau de Beauregard à La Clusaz. 

La décision est claire : l'intérêt public qui découle de la réalisation d'une retenue collinaire essentiellement destinée à assurer l'enneigement artificiel de la station est in suffisant à remettre en cause l'urgence qui tient à la préservation du milieu naturel et des espèces. lien vers la décision

Le signal envoyé aux communes est sans appel : la production de neige artificielle pour gagner quelques années sur le changement climatique et prolonger le modèle dit du tout-ski ne peut pas justifier la destruction d'habitats, d'espaces naturels et d'espèces protégées.

C'est un soulagement pour l'ensemble des associations, collectifs et habitants investis contre ce projet, alors que les travaux étaient imminents. 

La mairie et le ministère se sont pourvu en cassation devant le conseil d'Etat, mais celui-ci a annoncé le 3 octobre 2023 qu'il n'admettait pas ce pourvoi, fondé sur aucun moyen sérieux. 

La mairie avait d'ailleurs devancé l'annonce du conseil d'Etat en annonçant début septembre 2023 un moratoire sur le projet.

Le soulagement est immense : nous avons maintenant la certitude que les travaux ne pourront pas commencer avant le jugement au fond sur l'ensemble des points que nous avons contestés. 

Pouvez-vous faire un don pour nous aider à financer la suite des recours ?

En nous soutenant, c’est à la préservation de la montagne face au changement climatique et à l'entêtement des acteurs du ski à tout prix que vous contribuez. C’est aussi un chaleureux encouragement pour ceux qui s’efforcent de lutter contre ces ravages.

Nous ne pouvons pas nous arrêter en si bon chemin. L'enquête publique sur le projet a donné lieu à près de 1800 commentaires dont 76% contre. Plusieurs scientifiques ont déjà souligné les risques pour les milieux aquatiques, pour la stabilité des roches et des terrains, l'atteinte à la biodiversité botanique et animale.

Nous avons la possibilité de faire abandonner ce projet mais nous devons disposer de suffisamment de fonds pour les recours nécessaires. Merci de votre aide !

Et si nous arrivons à convaincre la mairie de renoncer au projet et à travailler ensemble les alternatives, sans avoir à poursuivre les recours ? Vos dons permettront alors de financer des projets d'approvisionnement en eau et de valorisation du patrimoine vivant à Beauregard.

Merci pour Beauregard ! 

Le bois de la Colombière, menacé de destruction :

Nature en danger


 

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Le don à La Nouvelle Montagne ouvre droit à une réduction fiscale car il remplit les conditions générales prévues aux articles 200, 238 bis et 978 du code général des impôts.
 

Particulier : Vous pouvez bénéficier d'une réduction d'impôt égale à 66% du montant de votre don, dans la limite de 20% de votre revenu imposable. 
Un don de 30€ vous revient à 10€.
Entreprise : Vous pouvez bénéficier d’une réduction d’impôt de 60% du montant du don, plafonnée à 20'000€ ou 5 ‰ du CA.

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Une cinquième retenue collinaire à la Clusaz ?

Repensons le projet et protégeons Beauregard, sa faune, sa flore et ses paysages exceptionnels

La Clusaz projette de lancer à l’automne la construction d’une imposante retenue collinaire dans le bois de la Colombière sur le plateau de Beauregard, destinée pour 1/3 à alimenter le village en eau et 2/3 à la production de neige artificielle.

Si le besoin mis en avant est celui de l’eau potable, c’est bien la stratégie d’augmenter fortement la production de neige artificielle qui impose le choix de ce site vierge et l’ampleur de l’ouvrage : l’exploitant des remontées mécaniques de La Clusaz, dont le domaine skiable s’étage entre 1’000 et 2’500m, envisage de couvrir 45% de son domaine en neige artificielle, contre 27% actuellement.

 


 

 

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Un projet qui interroge dans un contexte de changement climatique

 

  • Faut-il augmenter les besoins en neige artificielle ou en capacité touristique quand on doit économiser les ressources, dont on sait qu’elles sont par nature limitées, et réduire les dépenses énergétiques ?
  • Faut-il prévoir de nouveaux enneigeurs à 1’500m d’altitude quand l’iso zéro ne cesse de monter en altitude, les rendant probablement bientôt caduques ? Le réchauffement climatique est deux fois plus rapide dans les Alpes.
     
  • Faut-il réouvrir des pistes non enneigées, comme la combe des Juments, quand l’État précise que la neige de culture ne peut en aucun cas être une solution d'adaptation de l'activité des domaines skiable au changement climatique ?
     
  • Faut-il prendre le risque d’assécher des zones humides protégées exceptionnelles de biodiversité ?
     
  • Faut-il prévoir une cinquième retenue, de 148’000m3 d’eau, quand la commune de 1’720 habitants en dispose déjà de quatre, à usage de neige artifi- cielle, pour un volume de 270'000 m3 d’eau, pouvant être potabilisées ?
  • Ne faut-il pas investir dans la mise en valeur de ce joyau qu’est le plateau de Beauregard en favorisant un tourisme nature respectueux durablement de l’environnement plutôt que dans la neige artificielle ?
     

 

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vues sur le bois de la Colombière :

 

images de la Colombière - crédit photos OT la Clusaz


 

 

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La Mission Régionale d’Autorité environnementale alerte :

« Le projet de retenue de la Colombière va impacter des habitats comprenant une riche biodiversité à proximité de nombreux zonages environnementaux réglementaires. »

« Il engendrera des dommages à des habitats remarquables ainsi qu’à la biodiversité associée. »

« La retenue de la Colombière sera en outre la cinquième retenue sur la Clusaz. Ces équipements dans des zones naturelles maillent désormais le territoire communal. Ce nouveau point d’accroche visuel s’avère en contradiction avec l’orientation III. 2 du PADD (Plan d’Aménagement et de développement) Préserver et valoriser le patrimoine paysager et culturel identitaire de la station. »

« Le projet de la création de la nouvelle retenue traduit un prélèvement accru de la ressource en eau à la fois pour l’eau potable et pour le développement de la neige de culture. »

« L’Autorité environnementale recommande d’approfondir toute alternative à la création de la retenue en lien avec le changement climatique. »

 

le projet


 

 

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Des enjeux paysagers, de biodiversité, hydrologiques, énergétiques et sécuritaires :

 

  • retenue collinaire à 1’500 m d’altitude, d’une surface de 3.8 hectares (cinq terrains de foot), grillagée, en décalage total avec la géomorphologie naturelle du territoire
     
  • construction d’une digue de 12 m de haut, avec risque faible mais existant de rupture de digue inondant une partie du village de La Clusaz
     
  • atteinte aux paysages exceptionnels de Beauregard avec pour toile de fond la chaîne du Mont-Blanc et le massif des Aravis
     
  • en bordure du périmètre de la zone Natura 2000
     
  • en bordure de la tourbière protégée de Beauregard, dont l’équilibre hydrologique pourrait être perturbé
     
  • emplacement prévu sur un site sauvage d’une biodiversité exceptionnelle, au cœur de deux corridors biologiques majeurs
     
  • demande du maire d’une demande de dérogation exceptionnelle pour engager destruction d’espèces animales protégées et d’habitats d’espèces protégées
     
  • destruction directe de 8 hectares d'habitats naturels (onze terrains de foot)
     
  • impacts sur des écosystèmes uniques dont onze habitats naturels à protéger et des zones humides
     
  • perturbation de l'équilibre hydrologique de toute la zone par l’imperméabilisation d’une grande partie de la Colombière
     
  • impacts secondaires sur une superficie bien plus large et non évalués
     
  • captation et acheminement de l’eau par canalisation d’une source située à 4 km en aval, vers le col des Aravis
     
  • impact énergétique global non évalué
     
  • près de 90% d’avis négatifs lors de la concertation publique préalable et 76% lors de l'enquête publique.

 

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La remarquable tourbière de Beauregard, menacée par ce projet,  en été


 

Ensemble, mobilisons-nous pour protéger Beauregard :
 

 

Evitons le défrichage à l’automne, travaillons à la fois sur les ressources et sur les besoins, pour sécuriser l’approvisionnement en eau potable en cas de sécheresse, et accompagner la transition en cours dans notre territoire de montagne.

Des alternatives sobres et bienveillantes pour l’environnement existent ! Nous avons besoin de votre soutien financier pour stopper le projet.

Premières neiges à Beauregard - vue sur le bois de la Colombière - novembre 2021 - photo OT de La Clusaz :

 

colombière - crédit photo OT la Clusaz


 

 

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La pétition sur  Change.org/sauvonsbeauregard recueille plus de 50'000 signatures, d'associations, de personnalités, sportifs, artistes, anonymes. Voilà le contenu de cette lettre ouverte, qui pour l'instant n'a pas trouvé écho auprès des décideurs :

A l’attention de Monsieur le Préfet de Haute-Savoie
A l’attention de Monsieur le Maire de La Clusaz
Messieurs,
 
Evitons le saccage d’un sanctuaire de biodiversité.
 
La commune de La Clusaz dans les Aravis en Haute-Savoie envisage un projet de retenue collinaire, destinée pour 1/3 à alimenter le village en eau potable, les 2/3 restants étant destinés à la production de neige artificielle. Le début des travaux est annoncé à l’automne 2021.
 
Le projet s’implanterait sur le plateau de Beauregard, joyau de la vallée des Aravis.
 
Beauregard est un espace naturel unique, inscrit au programme européen Natura 2000 depuis 2003. Un espace remarquable au niveau environnemental, patrimonial et paysager.


Ce projet gigantesque ravagera le bois de la Colombière situé à l'Est du plateau, dans un site d’une grande richesse environnementale et de biodiversité. 
Il mettra en danger l'équilibre hydrologique de toute la zone et condamnera des écosystèmes uniques dont onze habitats naturels à protéger.
Il portera atteinte au paysage exceptionnel de Beauregardavec pour toile de fond la chaîne du Mont-Blanc et le massif des Aravis. 

-  Installée à 1500 m d’altitude, en décalage total avec la géomorphologie naturelle du territoire
-  Stockage d’eau de 148 000 m3
-  Captation et acheminement par canalisation d’une source à plus de 3.5 km, vers le col des Aravis
-  Retenue grillagée de 3.8 hectares (cinq terrains de foot)
-  Destruction directe de 8 hectares d'habitats naturels (onze terrains de foot) 
-  Impacts secondaires sur une superficie bien plus large et non évalués 
-  Construction d’une digue de 12 m de hauteur, avec risque faible mais existant de rupture de digue inondant une partie du village de La Clusaz
 
L’objectif essentiel est de produire de la neige artificielle : l’exploitant des remontées mécaniques de la station de La Clusaz, située à moyenne altitude, entre 1000 m et 2500 m, envisage en effet de couvrir 45% de son domaine skiable en neige de culture pour le ski de piste, contre 28% actuellement, une stratégie à rebours des problèmes générés par le changement climatique en montagne, à la lumière des derniers rapports du GIEC.
 
La destruction de la montagne sera, elle, irréversible.
 
La Mission Régionale d’Autorité Environnementale, ainsi que plusieurs associations se sont élevées contre ce projet et la concertation publique préalable a suscité près de 90% d'opinions contraires en ligne. 

Des alternatives sobres existent pour sécuriser l'accès à l'eau potable et à la neige artificielle. 
Des alternatives moins coûteuses, moins risquées, et bienveillantes pour l’environnement. 
La Clusaz disposant déjà de quatre retenues collinaires interconnectées, certaines pourraient être mises aux normes pour l’eau potable, et même agrandies.
 
Ne risquons pas un scandale environnemental. 
Travaillons ensemble pour l'éviter.  
Il y a de nombreuses pistes pour infléchir le projet. 
 
Avec nos remerciements anticipés, et notre considération la meilleure,

La Nouvelle Montagne - Association pour une transition DURABLE des territoires montagnards - Annecy - Aravis w
Mountain Wilderness France w
Protégeons la Joyère w
FESM 74 w
Collectif Fier-Aravis w
Collectif pour une Transition Participative à Thônes w
France Nature Environnement Haute-Savoie w
Extinction Rebellion w
Patrimoine-Environnement w
LPO AuRA w
Amis de la Terre 74 
Groupe Local Greenpeace d’Annecy
Raphaëlle Monod, championne du monde de ski de la Clusaz
Ophélia Kolb, actrice
Alexandre Tharaud, pianiste
Didi Haase, équipe de France de ski, fondateur du Derby de la Meije 
Natacha Régnier, actrice
Nicolas Hulot, président d’honneur de la fondation Nicolas Hulot
Jean-François Spricigo, photographe
Alexis Kossenko, flûtiste, chef d’orchestre
Solenne Païdassi, violon soliste
Gabrielle Philiponet, soprano
Alessandra Soum, violon soliste
Karen Vourc’h, soprano
Yanowski, auteur-compositeur
Benjamin Lazar, metteur en scène
Marina Bunimov, artiste peintre
Albin de la Simone, auteur-compositeur-interprète 
Gwendoline Gourvennec, actrice
Orianne Moretti, metteuse en scène
Arièle Butaux, écrivaine, ancienne productrice à Radio France 
Vanessa Benelli Mosell, pianiste
Pierre Génisson, clarinettiste
Andréa Ferréol, actrice
Quatuor Psophos
Brigitte Lefèvre, directrice de ballet de l’Opéra de Paris de 1995 à 2014
Vanessa Wagner, pianiste
Bertrand Chamayou, pianiste
Kilian Jornet, champion du monde de ski-alpinisme et skyrunning
Franck Piccard, champion olympique de ski en super G
Romain Pilliard, navigateur
Stéphane Tourreau, champion d’apnée haut-savoyard
Stella Picchedda, championne du monde junior de snowboard freeride de la Clusaz
Loïc Collomb-Patton, champion du monde de freeride de la Clusaz
Mathieu Navillod, skieur professionnel, président de l’association Une Bouteille à la Mer
Alain Vuarnet, ambassadeur Vuarnet
ainsi que ceux, nombreux, qui se joignent à cette requête

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Le paysage exceptionnel de Beauregard en hiver, du bois de la colombière menacé, avec la chaîne des Aravis et la chaîne du Mont-Blanc en toile de fond (photo OT La Clusaz) :

vue sur la Colombière - crédit photo OT La Clusaz
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Pourquoi un tel montant est nécessaire ?

Ce projet extrêmement impactant demande la prise de nombreux arrêtés pour permettre l’expropriation et les travaux :

− un arrêté portant déclaration d’utilité publique (avec arrêté de cessibilité) ;

− un arrêté d’autorisation environnementale comprenant une autorisation au titre de la

loi sur l’eau, une autorisation de défrichement et une dérogation au titre des espèces

protégées ;

− un arrêté portant mise en compatibilité du plan local d’urbanisme ;

− un arrêté instaurant une servitude de canalisation d’eau ;

− un arrêté instaurant une servitude d’aménagement du domaine skiable.

 

Nous faisons recours et référés sur les principaux arrêtés. 

Cela demande plusieurs centaines d’heures de travail pour les avocats qui nous soutiennent, et doivent rédiger le dossier de recours, puis les mémoires en réplique et duplique. Il ne ménagent pas leurs efforts, pour éviter ce projet  contre-sens, et sont soutenus par de nombreux bénévoles, experts, techniciens et scientifiques, qui décryptent le dossier pour mettre en lumière ses manques, ambiguïtés et contradictions. 

Il faut également financer des études complémentaires qui manquent au dossier, qui coûtent plusieurs milliers d'euros.

Juriste, naturaliste, ingénieur en BTP, hydrologue, géologue, chercheur, statisticien, météorologue, consultant en tourisme durable… vous avez des compétences techniques et êtes prêts à donner du temps, faîtes-nous signe !

Et si nous arrivons à convaincre la mairie de renoncer au projet et à travailler ensemble les alternatives, sans avoir à faire tous ces recours ? Vos dons permettront alors de financer des projets d'approvisionnement en eau et de valorisation du patrimoine vivant à Beauregard.
 

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La remarquable tourbière de Beauregard, menacée par ce projet,  à l'automne (photo OT La Clusaz) :

 

 

Tourbière de Beauregard - crédit photo OT La Clusaz


 

 

La tourbière menacée, en été :

 

la tourbière en été

Ensemble, évitons ce projet et protégeons Beauregard. 

Nous avons besoin de votre soutien, en participant à la cagnotte et partageant le lien autour de vous... 

Nous sommes plus de 60'000. Chaque coup de pouce compte. 

Merci à vous !

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Pour suivre les nouvelles sur le projet, retrouver les articles de presse et la documentation sur le projet : FB Sauvons Beauregard  et www.lanouvellemontagne.com 

 


Implantation du projet. bois de la Colombière menacé (photo OT La Clusaz) : 
 

Colombière

Le bois de la Colombière à l'aube, à l'automne (photo Pierre Tardivel)

la Colombière endormie - Pierre Tardivel


 


 

 

Description des postes de dépenses

Nous avons besoin de votre aide pour le financement des recours et référés, et des études complémentaires.

Après une victoire en référé des associations, la mairie se pourvoit en cassation auprès du conseil d'Etat.

Bénéficiaires finaux de la collecte

La Nouvelle Montagne

Porteurs du projet

Nous sommes plus de 60'000. Chaque coup de pouce compte. 

Localisation du projet

France

A propos de l'association

RNA: W741009831

Informations fiscalité

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Particulier

Particulier : vous pouvez bénéficier d'une réduction d'impôt égale à 66 % du montant de votre don, dans la limite de 20 % de votre revenu imposable. Si vous êtes redevable de l’Impôt sur la Fortune Immobilière, vous bénéficiez d’une réduction de votre IFI égale à 75 % du montant de votre don, dans la limite de 50 000 €. Attention la fraction de don ayant donné lieu à réduction d’IFI, ne peut ouvrir droit, parallèlement, à réduction d’IR. Lorsque le don est éligible aux deux dispositifs, le donateur pourra choisir l’un ou l’autre ou bien décider de ventiler son don.

Organisme / Entreprise

Entreprise : l’ensemble des versements à La Nouvelle Montagne permet de bénéficier d’une réduction d’impôt sur les sociétés de 60 % du montant de ces versements, plafonnée à 20 000 € ou 5 ‰ (5 pour mille) du chiffre d'affaires annuel hors taxe de l’entreprise. En cas de dépassement de plafond, l'excédent est reportable sur les 5 exercices suivants.

49 480 € collectés
Objectif : 50 000 € Contribuer au projet
851 contributeurs

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